[L’AUBE ROUGE]
[L’AUBE ROUGE] Lorsque j’ouvre les yeux, je me trouve plongé dans une nuit opaque bien différente de l’habituelle semi pénombre de ma cellule. Je ne vois plus de murs ni de voûtes. Je suis toujours sanglé au lit mais les écrans de contrôle et les perfusions qui m’entouraient ont disparu. Un souffle glacial gifle ma…